Samuel est un salopard de la plus belle espèce. Et ce n'est pas une catastrophe à New York qui va lui faire changer de comportement. Plus encore il peut enfin lâcher la bride à ses pulsions de violence et de mort...
Ce qu'il ignore est qu'il abandonne alors tout espoir de rédemption et qu'il va en faire la douloureuse expérience.
C'est rythmé, survitaminé même. La nouvelle propose aussi une réflexion un peu simpliste sur la réincarnation et le fait que l'individualisme et le machisme à outrance ne sont pas de bon augure pour les vies futures. Ça se lit néanmoins sans déplaisir le temps de quelques minutes.