David CALVO définit lui-même sa nouvelle CPCBN comme « une conspiration approximative qui finit dans le mur ». Le primo éditeur parle lui d'un texte « très davidcalvesque ». Pour ma part je suis passé totalement à côté de cette histoire qui tourne autour d'un suicide par défenestration, enfermé dans un réfrigérateur, et de Copacabana. C'est pourtant bien écrit mais décidément trop curieux pour mon esprit que je n'estime pas si cartésien que cela.
On trouvera cette nouvelle dans le Bifrost n° 23 et dans le recueil Acide organique (Les Moutons électriques, 2005).